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Course
Dès l'inscritption, c'était clair que j'allais être présente pour aider Eric à accomplir son défi et notre fille Sarah souhaitait elle aussi assister à cette journée. Je n'ai pas eu l'impression d'accomplir grand chose cette journée là mais voici un peu ma perception pour ceux et celles qui seraient intéressés d'accompagner quelqu'un dans une aventure un peu folle de courir plusieurs kilomètres en montagne.
J'écrivais récemment sur la règle de trois en compétition. Je parlais de l'importance de se fixer trois objectifs au lieu d'un seul pour être certain de retirer quelque chose de positif d'une course. Je disais aussi qu'il était important de noter trois choses apprises et trois choses à travailler après un événement. Je fais donc un retour sur le Bromont Ultra même si j'ai déjà écrit un roman sur le sujet.
C'est fait! C'est fini! J'ai complété mon premier ultra-marathon. Un beau 57km concocté sadiquement par Alister Garner et toute l'équipe du Bromont Ultra. À la fin du parcours, tout le monde me demandait si ça avait bien été et sincèrement, je ne savais pas trop quoi répondre. Est-ce qu'on peut tout simplement dire "bien" après neuf heures de souffrance? Commençons par le début.
Dimanche dernier, Edith et moi avons eu la chance de participer à un atelier d'initiation à la course en montagne donné par Benoît Talbot. Cet atelier était organisé par mon ami Marc-André de La Meute - Entraînement plein air.
Quand vient le temps d'une course "officielle", la plupart des gens se fixe un objectif. Ça peut être un objectif de temps, de cadence ou même viser un podium. Personnellement, je ne suis pas très compétitif mais j'aime quand même me fixer des objectifs. Voici un petit truc intéressant.
Dimanche matin, Brattleboro, 4h15, le cadran sonne. J'ai quand même réussi à dormir quelques heures. Il fait beau mais c'est très froid dehors. Tout près du point de congélation. Déjeuner habituel: un bagel et du beurre d'arachides. Pas de café de peur d'avoir mal au ventre et d'arrêter uriner tous les cinq kilomètres (ce que je ferai pareil).
Je voulais en savoir plus sur les bas compressifs et l'état de la recherche sur le sujet. Je me suis dit que ça pourrait aussi vous intéresser alors voici ce que j'ai trouvé.
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I wanted to know more about compression stockings and what the research says on the subject. I thought you could be interested too so I wrote an article about it. :)
Parfois, quelqu'un, quelque part, a une bonne idée et tu te demandes pourquoi personne n'y a pensé avant. C'est ce que je me suis dit la première fois que j'ai chaussé mes Altra Superior 2.0.
Comment fait-on pour se fixer des objectifs quand on ne sait pas trop ce qui nous attend? Dans mon cas, j'ai remplacé les objectifs par une bucket list de courses que j'aimerais faire. Cette liste est en perpétuelle évolution mais laissez-moi vous parler de certaines choses qu'on y trouve. Évidemment, je ne veux pas faire toutes ces courses dans la même année.
La zone Orford des Sentiers de l'Estrie fait partie intégrante du parc du Mont Orford, régie par la SÉPAQ. Ce parc provincial offre une multitude de sentiers et d'activités pour toutes les saisons. C'est un terrain de jeu amusant pour la course en sentier.
Il faut croire que j'assume bien mon côté masochiste car encore une fois, je n'étais pas dans ma meilleure forme pour affronter cette deuxième section des Sentiers de l'Estrie. Ce fut un excellent entraînement mental.
Je me fais souvent demander où je trouve ma motivation pour m'entraîner. Partout? Tout m'inspire. Au fait, est-ce qu'il y a une différence entre motivation et inspiration? J'ai quelques trucs à vous proposer pour vous motiver à bouger.
Dimanche dernier, je me suis lancé sur ce sentier que je n'avais jamais parcouru avant. Une belle montée de 17km qui finit aux parois Larouche, sur le bord de la route 222. Il faisait chaud... très chaud et très humide.
Suite à une blessure, je cherchais une façon de m'entraîner sans aggraver mon problème. J'ai découvert la méthode de Jeff Galloway qui m'a aidé beaucoup depuis le début de l'année 2015.
Le bracelet Scosche Rhythm+ est une bonne alternative aux ceintures de poitrine pour capturer la fréquence cardiaque à l'activité.
La fin de semaine dernière, j'ai eu la chance de m'entretenir avec Sébastien Roulier. Sébastien est un ultra-marathonien de Sherbrooke. Il est aussi Pédiatre-Intensiviste au CHUS. Qu'est-ce qu'un ultra-marathon? C'est une course de plus de 42,2 km
Mon fils et moi, on se ressemble sur plusieurs points. On aime la bonne nourriture, si possible en buffet. On a de la difficulté à vivre le moment présent sans s'inquiéter du lendemain et on n'aime pas trop les foules. Là où on se ressemble moins, c'est sur l'effort physique. Avoir le goût de mourir parce que c'est trop intense ce n'est pas dans ses activités favorites.
Edith et moi allons faire notre premier marathon en septembre prochain. Voici d'où l'idée est venue et comment se passe notre entraînement.
En 2012, après avoir perdu un peu de poids, j'ai décidé de me remettre en forme. J'ai choisi la course même si je n'aimais pas vraiment ça. J'ai fait pas mal de chemin depuis ce temps là.
